Critique : Good Omens 2
Good Omens 2 prend le parti de ne pas prioriser l’intrigue, mais les persos. Cela donne une suite plus calme, mais pas sans moments forts.
Good Omens 2 prend le parti de ne pas prioriser l’intrigue, mais les persos. Cela donne une suite plus calme, mais pas sans moments forts.
La première saison de Sandman est inégale à mes yeux. Parfois capable du sublime, elle souffre de défauts rageants.
Les noms Neil Gaiman, David Tennant et Michael Sheen m’ont attiré sur la mini-série Amazon, Good Omens, et j’ai craqué devant le pitch.
Difficile de passer après Daredevil. Du coup, confier cette mission à Jessica Jones, 1m 75, avait tout du pari casse-gueule.
Je n’avais pas pu poster l’affiche de Jessica Jones, mais c’est désormais chose réparée. Mieux, elle s’accompagne de la bande-annonce !
Fright Night n’est pas un bon film d’horreur, ni une bonne comédie. L’ensemble manque cruellement de pèche et de folie.