Critique : Call of Duty: Black Ops III
Même si on peut juger qu’un Call of Duty par an, ça fait beaucoup. Au final, à chaque année, son lot de nouveautés.
Même si on peut juger qu’un Call of Duty par an, ça fait beaucoup. Au final, à chaque année, son lot de nouveautés.
Call of Duty hésitait, mais cette année, il franchit le pas. Oui, Call of Duty a enfin décidé de s’offrir un nouveau moteur graphique. Et c’est parti !
Après l’énorme déception du solo de Battlefield 4, mes espoirs reposaient sur la nouvelle fournée de Call of Duty. Espérances fondées ?
Deadpool est un des personnages les plus populaires chez Marvel mais il avait fort à faire pour conquérir un public international.
A chaque année, son Call of Duty et sa polémique annuelle où les « fans » s’étouffent devant le peu d’originalité entre chaque épisode ou proclament que Battlefield, c’est mieux.
Passé presque inaperçu jusqu’à sa présentation aux salons du jeu vidéo, ce jeu qui avait été lourdé par Activision et récupéré par Square Enix a fait le buzz. On avait vu un jeu plutôt beau et avec un gameplay diversifié même si on ne s’éloignait pas des masses de GTA.
Après un premier épisode défouloir mais bancal car parsemé de nombreux bugs et doté d’un gameplay lourdingue. Prototype premier du nom souffrait aussi de la concurrence d’un Infamous bien plus abouti. Prototype 2 corrige-t-il les défauts de son prédécesseur ?
Après Battlefield 3, j’ai bouclé son grand concurrent. J’avais lu à droite et à gauche de très nombreuses critiques sur le mode solo. Beaucoup clamait que c’était une daube sans nom.