Critique : Ave, César!
Dernier épisode de la Trilogie des Idiots, Ave, César! remonte le temps pour plonger dans l’âge d’or d’Hollywood avec évidemment tout un tas d’idiots.
Dernier épisode de la Trilogie des Idiots, Ave, César! remonte le temps pour plonger dans l’âge d’or d’Hollywood avec évidemment tout un tas d’idiots.
L’histoire entre Spielberg et Hanks reprend et ils se sont adjoint les services des Coen. Un mélange promettant une belle Guerre Froide.
En entendant parler de l’histoire vraie de Louis Zamperini, difficile de ne pas avoir envie de voir Invincible.
Les Coen. On ne sait jamais vraiment à quoi s’attendre avec eux. Ils sont capables de mêler chef d’œuvre et film passable. Verdict pour celui-ci ?
Comédie musicale, policier noir, burlesque, répliques cultes, sens du rythme, acteurs formidables. Tout ça, c’est The Big Lebowski.
Alors que je m’attendais à être déçu, j’ai pris une vraie claque. On démarre avec une citation qui nous met direct dans l’ambiance.