Critique : L.A. Noire
Transposer la mécanique de GTA avec un soupçon de Point & Click dans un film noir était évident mais il fallait y penser.
De temps en temps, chez Le blog de Marvelll, on joue aux jeux vidéo. On en profite donc pour deviser sur nos expériences dans ce domaine. Cette catégorie résume toutes les excursions vidéoludiques de ses rédacteurs.
Transposer la mécanique de GTA avec un soupçon de Point & Click dans un film noir était évident mais il fallait y penser.
Vous avec rêvé d’un FPS en plein New-York avec des bâtiments qui s’écroulent, des trains qui déraillent et j’en passe ?
On se fend bien avec ce jeu très fun mais malheureusement le contenu solo est riquiqui. À réserver pour des soirées entre potes.
Je lance le jeu et je tombe sur la cinématique d’intro vue des milliards de fois sur le net. On y voit les combats entre Wolverine et Ryu.
Pas mauvais mais il m’a gavé avec les multiples allées et retour, des puzzles de merde et un gardien con comme une branche.
Plus proche de l’addon que d’un vrai Killzone 3. Mais on ne boudera pas notre plaisir de continuer les aventures de Sev et Rico.
Le jeu disposait d’excellentes idées mais malheureusement le reste ne suit pas. À prendre en occasion seulement.
Un excellent TPS au système de dialogue toujours aussi génial. Les fans de RPG seront déçus de l’abandon du côté RPG.
Une déception mais toutefois ça vaut le coup à tout prix riquiqui pour retrouver un bon petit Prince of Persia.
On assiste encore une fois à un jeu mélangeant les phases TPS et course-poursuite à la durée de vie riquiqui.