Critique : White God
White God, anagramme de White Dog, nous propose de vivre dans la peau d’un chien abandonné devant lutter pour survivre.
Parce que chez Le blog de Marvelll, on est des fous de cinéma, on a donc besoin d’en parler encore et encore. Cette catégorie résume toutes les divagations de ses rédacteurs dans le genre.
White God, anagramme de White Dog, nous propose de vivre dans la peau d’un chien abandonné devant lutter pour survivre.
Paul Haggis (Collision) revient avec un mec auquel il ne faut pas prendre la fille, Liam Neeson, pour faire un puzzle destiné aux 7 à 77 ans.
La nouvelle réalisation de Michaël R. Roskam promet de belles choses. Un joli casting et un scénario signé Dennis Lehane (Shutter Island).
Tout s’achève avec l’Apocalypse. Avec un tel sous-titre, tous les fantasmes sont possibles. La saga s’achève-t-elle de façon épique ?
Une bombe a été lancée par Toby Kebbell dans la gueule de tous les fans du comic Les Quatre Fantastiques concernant son personnage : Fatalis.
J’ai visionné La Famille Bélier dans le cadre d’une projection spéciale pour sourds, une séance bienvenue pour apaiser les tensions.
L’histoire, les thèmes et la durée d’Interstellar en font le film le plus ambitieux de Christopher Nolan. Le résultat est à la hauteur ?
Christopher Nolan nous invite pour une nouvelle odyssée dans l’espace, 46 ans après celle de Kubrick, sauf que le temps s’en mêle.
Depuis une bande-annonce, John Wick me faisait de l’œil. Pourtant au départ, rien ne m’intéressait vraiment dans ce projet.
Au travail, on fait tous des pots pour rassembler l’équipe (et où certains en profitent pour draguer), les Avengers n’y échappent pas.