Critique : Une bataille après l’autre
Une bataille après l’autre s’avère être un film soigné, porté par des performances solides, mais qui peine à s’affirmer pleinement.
Toutes les critiques des films sortis durant l’année 2025 en France.
Une bataille après l’autre s’avère être un film soigné, porté par des performances solides, mais qui peine à s’affirmer pleinement.
Downton Abbey III : Le Grand Final réussit à offrir une conclusion émouvante à une saga qui a marqué des générations de téléspectateurs.
Elle entend pas la moto est bien plus qu’un documentaire sur la surdité : c’est un portrait de famille, fragile et puissant à la fois.
En sortant du film, je me suis dit que Sirāt était peut-être une œuvre radicale, conçue pour hanter. Sauf que moi, il m’a surtout anesthésié.
Franchement, j’avais vraiment envie d’aimer McWalter. Mais au final, je suis resté un peu sur ma faim. Dommage car il y a beaucoup d’idées.
Avec Évanouis, Zach Cregger confirme qu’il n’était pas l’homme d’un seul coup d’éclat. Après Barbare, il prouve sa maîtrise du mystère.
Highest 2 Lowest n’est pas un grand Spike Lee, mais ça reste un Spike Lee, et Denzel assure le minimum syndical, mais son aura suffit encore.
Le Murder Club du jeudi est un whodunit efficace et drôle, portée par un charmant casting où Helen Mirren brille un peu trop.
Karate Kid : Legends, c’est une suite-remake doublée d’un crossover. Tout ce que le cinéma hollywoodien aime, condensé en un seul film.
Une suite exemplaire. Nobody 2 reprend les ingrédients qui ont fait le succès du premier opus pour les transposer dans un cadre atypique.