Critique : Alan Wake 2 : La maison du lac (The Lake House)

Allez, il est temps d’en finir avec Alan Wake 2 via sa deuxième, après Zone X, et dernière extension, La maison du lac, un an après la sortie du jeu original.

Je ne vais pas vous redire tout l’amour que je porte à Alan Wake 2 ; ma critique est là pour cela. On va donc aller droit à l’essentiel : la maison du lac. Après les joyeux délires de Zone X, on revient sur des sentiers plus classiques. Bref, la peur est de retour, avec l’arrivée d’un nouveau type de monstre bien chiant et flippant en plus. J’ai mis longtemps avant de capter leur mécanisme d’apparition. Si « j’aurais su », je serais mort moins souvent. À noter qu’on n’incarne ni Saga, ni Alan Wake.

C’était cool de voir que le chemin vers cette maison était déjà prévu dans le jeu original. Cette fameuse grille fermée dans la forêt avec laquelle on peut juste interagir via un interphone m’avait intrigué, mine de rien. La découverte de cette maison (un vrai bonus par rapport à Zone X qui reprenait des décors existants) et l’histoire qu’elle abrite est un moment fort sympathique, digne du jeu original, même si la surprise est moindre.

Au niveau de la durée de vie, on est sur quelque chose entre deux et trois heures. Cela dépend si vous arrivez à résoudre les puzzles vite, si vous reprenez la main rapidement (j’ai un peu galéré à ce niveau) et si vous aimez fouiner ; mention spéciale pour le lien avec Control.