Critique : Secret Level – Saison 1
Après Love, Death + Robots, Tim Miller remet ça dans l’univers des jeux vidéo, et c’est une excellente réussite avec quinze épisodes.
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Après Love, Death + Robots, Tim Miller remet ça dans l’univers des jeux vidéo, et c’est une excellente réussite avec quinze épisodes.
Red One a connu une production chaotique, et cela se ressent. Il n’empêche qu’il a des points positifs, comme J.K. Simmons en Père Noël.
Derrière ce titre curieux Dieu, tu es là ? C’est moi, Margaret., se cache la Cassie d’Ant-Man aux côtés de Rachel McAdams et Kathy Bates.
Je suis venu pour Aubrey Plaza, je suis reparti avec le sourire et les larmes. Mon futur moi est un superbe conte sur la vie.
Une deuxième saison moins impressionnante à mon goût, car l’aspect aventure laisse place à un jeu d’échecs autour de l’Eregion.
Le Grand Tour s’achève pour le trio Clarkson, Hammond et May. Une longue aventure prend fin avec émotion et toujours de l’humour.
Malgré une excellente idée de départ, des répliques senties et une scène d’action géniale, l’ensemble n’arrive jamais à être assez crédible.
Le ministère de la Sale Guerre, c’est comme si Guy Ritchie avait décidé de faire son Inglourious Basterds (2009).
Une saison où l’intrigue tourne en rond pour tenir jusqu’à la prochaine (et dernière, heureusement) saison.
Pour sa troisième saison de Clarkson à la ferme, Jeremy est confronté aux porcs et aux pénis de l’espace. Bref, c’est toujours aussi drôle.