Critique : Dexter – Saison 7
Le nœud coulant se resserre autour du cou de Dexter et la chaise, l’empêchant de basculer dans le vide, devient de plus en plus branlante.
L’univers est si vaste, surtout au cinéma, où désormais, on peut compter sur trois univers majeurs avec le Marvel Cinematic Universe, le DC Extended Universe sans oublier les Marvel de la Fox. Sur cette page, on ne fait pas de distinctions entre les univers.
Le nœud coulant se resserre autour du cou de Dexter et la chaise, l’empêchant de basculer dans le vide, devient de plus en plus branlante.
Après la déception des deux addons d’Assassin’s Creed 2, Ubisoft semble vouloir marquer un gros coup avec ce troisième épisode.
Un portrait d’une famille dévorée par le cancer de l’argent. Une bonne idée si la narration n’était pas aussi asthmatique.
Je vous préviens, la critique qui va suivre ne sera pas élogieuse, au contraire même, elle va… comment dirais-je… noyer le film.
Entourage est inspirée de la vie de Mark Wahlberg où on suit un groupe de quatre potes propulsés dans les plus hautes sphères d’Hollywood.
Après un très bon Bons Baisers de Bruges, le réalisateur Martin McDonagh revient avec sept malades mentaux.
Ce Hobbit était craint, à cause d’une préprod’ chaotique et parce que Le Hobbit est un livre pour enfants. Le syndrome La Menace Fantôme ?
On s’attendait à une leçon de cinéma sur Psycho ou un biopic approfondi, on ne récupère qu’un « téléfilm » sur le couple Hitchcock.
Des réalisateurs parmi les plus prestigieux ont été attachés au projet avant qu’Ang Lee ne récupère la barre.
Les mondes de Ralph est ce qu’on pourrait appeler un Toy Story version jeu vidéo où nos compagnons dans la machine prennent vie.