Critique : Prey
Aucune surprise dans le déroulé de Prey car calqué sur le classique de McTiernan mais ça ne l’empêche pas d’offrir de bonnes scènes d’action.
Suspense, mystère et tension s’entremêlent dans le genre « thriller », nous captivant avec des intrigues palpitantes et des twists haletants.
Aucune surprise dans le déroulé de Prey car calqué sur le classique de McTiernan mais ça ne l’empêche pas d’offrir de bonnes scènes d’action.
Je n’aurais jamais cru écrire ça, mais avec Stranger Things 4, je crois que j’ai atteint la saison où je commence à décrocher.
Après avoir quitté la suite de Doctor Strange, Scott Derrickson est revenu à son premier amour, l’horreur, avec Black Phone.
Chris Pratt : « Préparez-vous pour ce qui sera sans aucun doute le plus grand et le meilleur film de la franchise. ». J’attends encore.
La bande-annonce m’envoyait du rêve. À l’arrivée, je suis mitigé. Si la partie action est efficace, le reste est raté.
Cette suite, faussement déguisée en remake, se contente de recycler la formule tout en poussant le côté méta plus loin.
Après The Witch et The Lighthouse, Robert Eggers passe au niveau supérieur en multipliant le budget de son dernier film par 7.
Un bon film avec des scènes d’action sublimées par une mise en scène inventive sans oublier un Rhys Ifans incroyable en Grigori Raspoutine.
Severance. Une série sortie de nulle part justifiant, à elle seule, le fait de prendre un abonnement d’un mois sur Apple TV+.
Heureusement qu’il y a le génie d’Edgar Wright pour remonter le niveau d’un Last Night in Soho tiré par le bas à cause de son histoire.