Critique : Wicked : Partie II
Wicked : Partie II est coincé entre la conclusion de l’histoire d’Elphaba et Glinda et l’obligation de coller aux événements du Magicien d’Oz.
Wicked : Partie II est coincé entre la conclusion de l’histoire d’Elphaba et Glinda et l’obligation de coller aux événements du Magicien d’Oz.
Running Man n’est pas le chef-d’œuvre d’action que j’espérais, mais il reste une expérience solide, portée par un Glen Powell au top.
Regretting You ne cherche jamais à sortir de sa zone de confort, mais réussit malgré tout à toucher, grâce à des moments d’émotion sincère.
Plus qu’un remake, cette version de Blanche Neige propose une nouvelle histoire tout en gardant les grandes lignes de la version de 1937.
Scott Derrickson livre un film mélangeant plein de genres, pour un résultat efficace, même s’il manque de folie.
Une suite tout aussi formidable que Bridget Jones Baby, qui amène Bridget sur de nouvelles voies : celle de la mère célibataire et du deuil.
Quelle belle surprise, ce Wicked ! Il faut dire que la performance des deux stars est phénoménale, avec un énorme coup de cœur pour Glinda.
Malgré un point de vue original sur la mission Apollo, To the Moon peine à se montrer convaincant, faute d’alchimie entre ses deux stars.
Je suis venu pour Aubrey Plaza, je suis reparti avec le sourire et les larmes. Mon futur moi est un superbe conte sur la vie.
City Hunter, incompréhensiblement traduit en Nicky Larson par Netflix, est une adaptation fort sympathique grâce à un énorme Ryohei Suzuki.