Critique : Sandman – Saison 1
La première saison de Sandman est inégale à mes yeux. Parfois capable du sublime, elle souffre de défauts rageants.
La première saison de Sandman est inégale à mes yeux. Parfois capable du sublime, elle souffre de défauts rageants.
Enfin, j’ai vu Morbius. Franchement, je ne comprends pas toutes les mauvaises critiques. J’ai trouvé que c’était un film vraiment génial.
Encore un bon film Netflix avec Jamie Foxx. Après le sympa Project Power, la team remet ça pour une comédie d’action dopée aux canines.
Aucune surprise dans le déroulé de Prey car calqué sur le classique de McTiernan mais ça ne l’empêche pas d’offrir de bonnes scènes d’action.
Je n’aurais jamais cru écrire ça, mais avec Stranger Things 4, je crois que j’ai atteint la saison où je commence à décrocher.
Après avoir quitté la suite de Doctor Strange, Scott Derrickson est revenu à son premier amour, l’horreur, avec Black Phone.
Loin du niveau des jeux de Quantic Dream, le film interactif de Supermassive Games a tout de même des grosses qualités.
Après m’avoir légèrement déçu sur sa saison 2, j’ai trouvé que Love, Death + Robots a repris du poil de la bête et livré sa meilleure saison.
Cette suite, faussement déguisée en remake, se contente de recycler la formule tout en poussant le côté méta plus loin.
L’épisode classique où il s’agit, comme dirait un beau gosse aux yeux bleus, de castagner. À ce niveau, le job est fait.