Critique : Une soirée d’enfer
En regardant Une Soirée d’Enfer, difficile de ne pas penser à la série That 70’s Show. Les thèmes se ressemblent à s’y méprendre.
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
En regardant Une Soirée d’Enfer, difficile de ne pas penser à la série That 70’s Show. Les thèmes se ressemblent à s’y méprendre.
En revenant sur un sujet aussi propice au débat : Coupable ou innocent ? Il devient difficile de choisir un point de vue.
Comment revenir après un échec ? Le retour derrière la caméra de Mathieu Kassovitz était attendu après son exil américain.
Jean-Jacques is back ! Et avec lui, il nous amène un film d’aventure comme on n’en fait que trop rarement ces derniers temps.
Beaucoup voient en Les Immortels, le nouveau 300. Il faut dire qu’ils ne sont pas aidés par un gros : par les producteurs de 300.
Considéré comme un des plus grands films par Martin Scorsese et comme la principale source d’inspiration pour le Black Swan d’Aronofsky.
Luc Besson est mort ! Voilà ce que la plupart des cinéphiles proclament à tout va. Une vérité entre guillemets.
Dexter s’essouffle, Columbo est mort, Sherlock Holmes est devenu Iron Man, le détective à l’ancienne est une race éteinte.
Il est surprenant de voir un tel film sortir en France surtout au vu de son sujet : les coulisses des clubs de baseball, un sport américain.
La nouvelle déception des studios Ghibli après Arrietty. Décidément, celui qui prendra la suite de Hayao Miyazaki n’est pas son fils.