Critique : Dream House
Pour commencer calmement les choses, un petit conseil d’ami : SURTOUT NE REGARDEZ PAS LA BANDE ANNONCE !!!!!!
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
Pour commencer calmement les choses, un petit conseil d’ami : SURTOUT NE REGARDEZ PAS LA BANDE ANNONCE !!!!!!
Passé uniquement au festival de Deauville en France, Get Low méritait pourtant mieux qu’une sortie par la case vidéo.
Une comédie dramatique plutôt inégale avec une première partie très réussie et une deuxième en retrait. Encore une belle histoire vraie.
Le film se regarde une deuxième fois sans perdre sa force, mieux, je l’ai même davantage apprécié. Il file une banane monstrueuse.
Un film fascinant servi par des excellents acteurs, une très belle réalisation et un sujet à controverse. Le long-métrage subjugue.
The Roommate se part d’un casting à la mode midinette à savoir des acteurs provenant de séries qui font fureur sur ce type de public.
Devant une telle œuvre, on se prend à rêver d’une adaptation cinématographique tellement le matériau s’y prête.
En revisitant le mythe de Roméo et Juliette, Gus Van Sant nous livre un film touchant et sensible doté d’une belle réflexion face à la mort.
L’émotion est le cœur du film grâce à un trio d’acteurs exceptionnels Hardy/Edgerton/Nolte. Sans oublier, des combats dantesques.
Posé sur un sujet en vogue et difficile sur les droits de l’homme/femme bafoués en Iran, Au revoir se plante.