Critique : Rampart
Lunettes de soleil, visage rougi par le soleil et insigne de police brillante. Il n’y a pas à dire, Woody Harrelson en impose sur l’affiche.
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
Lunettes de soleil, visage rougi par le soleil et insigne de police brillante. Il n’y a pas à dire, Woody Harrelson en impose sur l’affiche.
Contemplatif avec des personnages figés et aux réactions aberrantes. En dépit de qualités esthétiques, Only God Forgives est une déception.
La saison 3 est terminée. C’est reparti pour un an d’attente. Un an à gamberger. Mais bon, ce n’est pas tout, j’ai une critique à boucler.
Sur fond d’histoire vraie, The Bling Ring présente la maladie qui gangrène Hollywood, un lieu où la gloire s’acquiert par la bêtise
L’Attentat explose dans nos salles précédé d’une réputation sulfureuse suite à son interdiction dans de nombreux pays.
Si on est salaud, on pourrait résumer Only God Forgives comme une succession de beaux tableaux avec une BO mais sans narration intéressante.
Il fallait un après Smallville pour remplir le trou. On avait longtemps pensé que ce serait que le mec qui nage avec les dauphins mais non.
Baz Luhrmann, c’est Roméo + Juliette, Moulin Rouge et Australia. Cette fois-ci, il retourne à ses premiers amours : une adaptation et Leo.
Et si le meilleur film de l’année venait de Belgique ? Je ne savais pas trop quoi à m’attendre avec Alabama Monroe.
Ne nous mentons pas, le principal argument pour regarder The Following, c’est Kevin Bacon mais que vaut vraiment la série ?