Critique : Dans l’ombre de Mary – La promesse de Walt Disney
Dans l’ombre de Mary revient sur la création d’un des plus grands chefs d’œuvre du cinéma. Ici, Mary Poppins.
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
Dans l’ombre de Mary revient sur la création d’un des plus grands chefs d’œuvre du cinéma. Ici, Mary Poppins.
Je suis tombé amoureux du style Wes Anderson avec l’excellent Moonrise Kingdom. L’histoire d’amour continue-t-elle ?
Après une longue carrière à la télévision, John Wells adapte Tracy Letts, nous invitant à passer août à Osage County, Oklahoma.
Après son catastrophique Resident Evil, difficile pour moi de croire que Paul W.S. Anderson soit capable de pondre un bon film.
Alexander Payne et les Oscars, c’est une belle histoire d’amour. Après le génial The Descendants et ses 5 nominations, voici Nebraska avec 6.
Réaliser Her peut faire peur tant le projet est extrêmement culotté, mais ce n’est pas la première fois que Spike Jonze prend des risques.
Les sorcières soignent leur retour au premier plan avec une sorte de Harry Potter version American Horror Story.
Propulsé après deux chefs d’œuvres, David O. Russell revient avec une surprise de taille : la réunion du casting de ses deux précédents films.
C’est avec une tendresse particulière que j’ai regardé All About Albert, car il s’agit du dernier film de James Gandolfini.
Nominé aux Oscars dans six catégories et lauréat de deux Golden Globes, Dallas Buyers Club débarque avec l’assurance d’un cador.