Critique : Game of Thrones – Saison 4
Game of Thrones est culte. Les années passent, les audiences grandissent et les morts s’accumulent. Cette saison n’échappe à la règle.
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
Game of Thrones est culte. Les années passent, les audiences grandissent et les morts s’accumulent. Cette saison n’échappe à la règle.
Une saison 2 plus spectaculaire avec beaucoup de twists, tout en conservant les qualités de la saison précédente.
Le nouveau David Mackenzie, c’est un truc poignant et tenace comme la mâchoire du héros sur les bijoux de famille d’un gardien de prison.
Quand le réalisateur de Kill Bill balance : Sensationnel, le meilleur film de l’année. Il ne reste plus qu’une chose à faire, voir le film.
Après avoir envoyé du lourd avec Animal Kingdom, David Michôd retrouve Guy Pearce et lui adjoint Robert Pattinson pour The Rover.
Encore une fois, le titre VO est plus classe que le titre VF mais on comprend le besoin de changer vu que la VO est The Railway Man.
Je ne vais pas encore vous expliquer pourquoi je me suis procuré le livre. Si j’ai pris le roman Joyland, c’est parce que Stephen King.
Malgré ses derniers films moyens, Cronenberg a son aura. À chaque nouveau projet, il y a un espoir de voir David faire du grand Cronenberg.
Arnold Schwarzenegger, l’homme aux multiples persos cultes, s’invite chez David Ayer, réalisateur du très bon End of Watch.
Agents of S.H.I.E.L.D. est la première tentative de Marvel de pénétrer dans l’univers des séries TV tout en conservant le style des films.