Critique : Homeland – Saison 4
À la fin de la saison 3, Homeland prend le risque d’exercer un bouleversement majeur dans sa formule. L’occasion de renaître tel le phénix ?
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
À la fin de la saison 3, Homeland prend le risque d’exercer un bouleversement majeur dans sa formule. L’occasion de renaître tel le phénix ?
Une claque. Une expérience cinématographique rare. J’avais bouclé mon top 10 de 2014. Et voilà que… Et voilà que Whiplash a retenti.
T’as envie de tout foutre en l’air devant ce cinéma formaté. Bravo, tu es à ta place ici, car tu es un nouveau sauvage !
Le jour où j’ai su que Foxcatcher serait un grand film, c’est en découvrant l’anecdote de Channing Tatum s’explosant la tête sur un miroir.
Secret d’état repose sur des faits réels fascinants pour raconter l’histoire d’un journaliste qui a osé dire la vérité.
Longtemps cantonné au rôle de scénariste, Dan Gilroy, accompagné de Jake Gyllenhaal, franchit le pas en livrant un mémorable Night Call.
Quand l’annonce d’un dernier film séparé en deux chapitres pour Hunger Games est sortie, je me suis inquiété.
White God, anagramme de White Dog, nous propose de vivre dans la peau d’un chien abandonné devant lutter pour survivre.
Paul Haggis (Collision) revient avec un mec auquel il ne faut pas prendre la fille, Liam Neeson, pour faire un puzzle destiné aux 7 à 77 ans.
La nouvelle réalisation de Michaël R. Roskam promet de belles choses. Un joli casting et un scénario signé Dennis Lehane (Shutter Island).