Critique : Borderlands
Sans surprise, l’adaptation ciné du jeu vidéo Borderlands n’est pas bonne. Ce n’est pas comme si tout le monde ne l’avait pas déjà dit.
Le genre « comédie » fait rire les spectateurs avec des situations cocasses, des dialogues hilarants et des personnages excentriques.
Sans surprise, l’adaptation ciné du jeu vidéo Borderlands n’est pas bonne. Ce n’est pas comme si tout le monde ne l’avait pas déjà dit.
La nouvelle ère du MCU débute sur les cendres de l’ère Fox, mais n’oublie pas de lui rendre un vibrant hommage.
Le ministère de la Sale Guerre, c’est comme si Guy Ritchie avait décidé de faire son Inglourious Basterds (2009).
Pour sa troisième saison, The Bear calme le jeu pour développer ses personnages. Mais ça reste toujours aussi excellent.
Deadpool & Wolverine est le No Way Home de Wade Wilson. Bref, Marvel Jésus et le Glouton ont frappé (et ça fait mal aux couilles) !
Devant Moi, moche et méchant 4, j’ai ressenti une certaine lassitude, car les nouveautés se comptent sur les doigts d’une main.
S’il me fallait faire un top 10 des meilleures séries de tous les temps, Atlanta y figurerait sans l’ombre d’un doute.
Vu Un prince à New York 2, j’étais inquiet pour ce Flic de Beverly Hills 4. Si ce n’est pas aussi mauvais, ce n’est pas mémorable non plus.
Une suite réussie dans la lignée de son prédécesseur, illustrant brillamment le passage à l’adolescence. Bref, un Pixar émouvant et drôle.
Quel curieux film, ce Blue & Compagnie ! Pendant les deux tiers, je me suis ennuyé, mais le miracle arrive dans le dernier tiers.