Critique : Death Stranding 2 : On the Beach
Si j’avais adoré Death Stranding, je suis plus mitigé sur On the Beach, qui reprend les mêmes défauts… en pire, et le scénario recycle trop.
Si j’avais adoré Death Stranding, je suis plus mitigé sur On the Beach, qui reprend les mêmes défauts… en pire, et le scénario recycle trop.
Aucune tension ni même une sensation de danger comme si on était dans une attraction sur rails à la Star Tour qu’on connaît par cœur.
Jurassic World : Renaissance promettait d’être un nouveau souffle pour la franchise après un décevant Le monde d’après. Manqué !
Une deuxième partie qui ne fait qu’empirer. Bref, Ironheart a réussi l’exploit d’être la première œuvre du MCU que je n’aime pas.
Difficile de s’emballer pour ces trois premiers épisodes d’Ironheart où Dominique Thorne peine à offrir une performance marquante.
Même si Elio a réussi à m’émouvoir, il m’est pourtant difficile de le considérer comme une réussite, tant il est paresseux.
Reprenant le style d’Arcane, Predator : Killer of Killers est un véritable déluge d’action fun qui n’oublie pas d’enrichir le lore Yautja.
La franchise Mission impossible fait son Endgame, mais n’a jamais réussi à totalement me captiver en raison de ses nombreux défauts.
Une très bonne adaptation vidéoludique d’Indiana Jones, se situant chronologiquement entre le premier et le troisième film.
Une deuxième saison inférieure à la première, souffrant particulièrement de sa structure de premier tiers d’une intrigue complète.