Critique : Star Wars Jedi : Survivor
En voulant ajouter un « monde ouvert » (plus proche de la zone) dans sa panoplie, Star Wars Jedi : Survivor se tranche le pied au sabre-laser.
Le genre « action » est rempli d’explosions, de cascades audacieuses et de combats intenses, offrant une dose d’adrénaline et de divertissement pur.
En voulant ajouter un « monde ouvert » (plus proche de la zone) dans sa panoplie, Star Wars Jedi : Survivor se tranche le pied au sabre-laser.
J’ai regardé la série car elle réunissait les têtes d’affiche de mon film préféré de l’année dernière Everything Everywhere All at Once.
J’ai commencé FUBAR parce qu’Arnold Schwarzenegger (pas besoin d’en dire plus) dont c’est la première série télévisée en tête d’affiche.
Ça me semblait difficile de faire pire que le 9. Heureusement, le X n’y arrive pas. Mais ce n’est pas beaucoup mieux non plus.
C’est désormais fini pour Midnight Suns avec son ultime DLC consacré à Tornade doté de la même formule mais avec une surprise finale.
Après Un homme en colère, Guy Ritchie refait équipe avec Tatane Man pour une sorte de Mission : Impossible où brille Hugh Grant.
Dans cette critique, je me lâche totalement et reviens sur les moments forts du film Les Gardiens de la Galaxie Volume 3.
Alban Lenoir refait équipe avec le directeur de la photo des Balle Perdue pour un polar efficace avec des scènes d’action bien emballées.
Malgré une proposition alléchante bousculant les clichés, Ghosted peine très vite à être autre chose qu’une simple romcom d’action.
James Gunn sort par la grande porte. Ma meilleure expérience avec un Marvel Studios depuis Avengers : Endgame.