Critique : Jurassic World : Renaissance
Jurassic World : Renaissance promettait d’être un nouveau souffle pour la franchise après un décevant Le monde d’après. Manqué !
Jurassic World : Renaissance promettait d’être un nouveau souffle pour la franchise après un décevant Le monde d’après. Manqué !
Heads of State est un buddy movie porté par une réalisation inspirée, livrant des scènes d’action fun, et un duo sorti de Belle Reve.
Une deuxième partie qui ne fait qu’empirer. Bref, Ironheart a réussi l’exploit d’être la première œuvre du MCU que je n’aime pas.
Dans la lignée de Top Gun : Maverick (dont on retrouve l’équipe), F1 le film semble sortir des années 90 avec des séquences d’action folles.
Une troisième saison avec des jeux efficaces et une maîtrise du rythme et de la tension donnant envie d’enchaîner tous les épisodes.
The Dark Ages tente d’innover la formule Doom en y ajoutant le bouclier de Captain America et des phases avec un dragon et un Jaeger.
28 ans plus tard est un bon ajout à la franchise et réussit à se faire une place dans un registre pourtant déjà bouché.
Difficile de s’emballer pour ces trois premiers épisodes d’Ironheart où Dominique Thorne peine à offrir une performance marquante.
Même si Elio a réussi à m’émouvoir, il m’est pourtant difficile de le considérer comme une réussite, tant il est paresseux.
Une histoire touchante, construite de manière originale autour d’un homme nommé Chuck dont la vie n’a pas été épargnée par les drames.