Critique : Resident Evil 7 : Biohazard
Même si j’avais apprécié les Resident Evil précédents, je regrettais à chaque fois de ne plus retrouver une sensation d’antan : la peur.
Même si j’avais apprécié les Resident Evil précédents, je regrettais à chaque fois de ne plus retrouver une sensation d’antan : la peur.
Le début de la campagne est vraiment horripilant, fort heureusement, ça s’arrange au bout de quelques heures
Le survival horror est né avec Alone in the Dark, a été sublimé par Resident Evil et il est mort… avant de renaître avec The Evil Within.
Je me demandais si j’allais avoir les nerfs suffisamment solides pour terminer Outlast sans succomber à une crise cardiaque…
Fort d’un succès critique, The Last of Us débarquait sur ma console en territoire conquis. Est-il à la hauteur de sa réputation ?
Jeu notable de la 3DS, Resident Evil : Revelations est porté sur consoles et PC. Euh, ça ne risque pas de piquer les yeux ? On vérifie ça.
Parce que prendre le métro tous les jours ne suffit pas, il faut aussi le prendre en jeu vidéo et Metro: Last Light permet de le faire.
Dead Island Riptide n’est qu’une version pauvre de Borderlands (mais avec des zombies, c’est important ça).
Un énorme dilemme se pose: comment donner un second souffle à cette saga dont le deuxième épisode manquait sincèrement d’innovations ?
Longtemps resté une exclu pour la 360, Alan Wake a une réputation de licence phare. C’est donc avec joie que je l’ai vu débarquer sur PC.