Nick la critique : Pirates des Caraïbes: La vengeance de Salazar
Pirates des Caraïbes joue en eaux troubles en allant vers les profondeurs. Ça a failli être une noyade. C’est un film que je peux recommander.
Pirates des Caraïbes joue en eaux troubles en allant vers les profondeurs. Ça a failli être une noyade. C’est un film que je peux recommander.
Universal planche sur la création d’un univers partagé autour de ses monstres les plus célèbres : le Dark Universe.
Je trouve la bande-annonce assez bizarre. Si la qualité des effets spéciaux est ouf, l’histoire a l’air d’être une redite du premier Pirates.
Avec cinq Les Animaux Fantastiques annoncés, il y a une certaine pression autour de ce spin-off d’Harry Potter. Alors réussite ou ratage ?
Je pensais avoir tout vu. Mais là, c’est l’histoire d’un mec qu’on transforme en morse. Et il n’y a pas de magie, juste de la couture.
Les comédies musicales ne sont pas mon trip, mais j’étais intrigué, car je voulais voir le résultat de la fusion de plusieurs univers Disney.
Johnny Depp dans un film de S.F., je ne peux qu’être curieux du résultat, car l’acteur est étranger à cet univers.
Lone Ranger semblait bien parti pour n’être qu’un spin-off du pauvre de Pirates des Caraïbes dans l’Ouest Sauvage. La claque a été forte.
Adapté de la série 21 Jump Street, le 2ème long-métrage des réal’ de Tempête de boulettes géantes surfe sur le phénomène de réadaptation.
Dark Shadows était à la base une série qui avait fasciné Tim Burton dans sa jeunesse. Du coup, il retourne ici à ses premiers amours après l’échec artistique mais pas monétaire de son Alice.
Autant vous le dire tout de suite, on est loin d’avoir un des meilleurs Sandler. Réflexion faite, il s’agirait même d’un de ses plus mauvais.
Donner les rênes à Rob Marshall a provoqué une grosse surprise. Ce dernier ne s’étant signalé que par des drames ou des comédies musicales.