Critique : Colossal
J’avais quitté le réalisateur Nacho Vigalondo sur un très bon Timecrimes et ses délires de voyage dans le temps. Je le retrouve aujourd’hui avec Colossal.
J’avais quitté le réalisateur Nacho Vigalondo sur un très bon Timecrimes et ses délires de voyage dans le temps. Je le retrouve aujourd’hui avec Colossal.
Les mecs qui m’ont appris à tuer mon boss sont de retour pour une nouvelle leçon. On commence d’abord avec une petite bande-annonce sous-titrée.
Pourquoi voir Les Miller, une famille en herbe ? D’un, le film a fait un carton. De deux, la comédie est une réussite. De trois, parce que je te le dis.
Après une 1ère saison moyenne et une 2ème prometteuse, Kenny Powers était de retour. La saison 3 est celle de la confirmation… Celle de l’apothéose.
Servi par une campagne promo et une bande annonce emballante, Moi, député (pour reprendre l’expression favorite de notre cher Flamby national) nous sert un duel au sommet entre deux figures sacrées de la comédie américaine. Will Ferrell qu’on ne présente plus et Zach Galifianakis qu’on ne présente plus non plus. Qui remportera la campagne ?
C’est une série assez atypique dans ce cercle fermé des sitcoms en effet ses personnages principaux sont des… losers. Mais en plus, de ça, ils sont cruels, bêtes, méchants, narcissiques, égoïstes,…
Le film n’innove rien, il ne fait que suivre les chemins battus et rebattus de la comédie américaine à savoir exploiter une idée de départ sur un scénario déjà prêt.
Le film est très bien mené au début du film, on se marre bien avec Rick et Fred. Certaines blagues sont tout simplement énormes, mais attention à ne pas amener vos gosses de moins de 10 ans…