Critique : Selma
Décidément, l’histoire afro-américaine commence à empiler les bijoux cinématographiques. Après 12 Years A Slave et Le Majordome, voici Selma.
Décidément, l’histoire afro-américaine commence à empiler les bijoux cinématographiques. Après 12 Years A Slave et Le Majordome, voici Selma.
En dépit de son excellente idée de départ, Machete se révélait finalement très vite limité. Quel est donc l’intérêt d’entamer une suite ?
Le Majordome a réussi à faire pleurer l’homme le plus puissant du monde libre. Oui, le gars qui avait une baraque aux Ba’ma…