Critique : Nocturnal Animals
Tom Ford m’avait ébloui avec son beau et émouvant A Single Man. Huit ans après, il offre son deuxième film, Nocturnal Animals.
Tom Ford m’avait ébloui avec son beau et émouvant A Single Man. Huit ans après, il offre son deuxième film, Nocturnal Animals.
Il m’est difficile de faire l’impasse sur Birdman. D’un, parce qu’il aborde un sujet qui me passionne, et de deux, parce qu’il a une moyenne très élevée.
Sorti en DTV en France mais pas discrètement (y a qu’à voir les très nombreuses affiches dans le métro parisien), Welcome to the Punch méritait-il plus?
Attendu comme une bombe SF, Oblivion avait pas mal d’arguments, notamment une bande annonce sublime et un Tom Cruise à l’aise dans le genre.
Avec le titre, on pourrait penser à un film de danse avec Clive Owen à la place de Richard Anconina mais pas du tout, nous sommes dans un film d’espionnage pur et dur.