Critique : Magic Mike : Dernière danse

Sur Magic Mike : Dernière Danse, Steven Soderbergh fait son retour à la réalisation après l’avoir laissé à Gregory Jacobs pour Magic Mike XXL (2015). À part ça, rien ne change. Channing Tatum est toujours la tête d’affiche tandis que Reid Carolin signe le scénario.

Ah si quand même, pour la tête d’affiche féminine, cette fois-ci, Salma Hayek s’y colle. Pour l’anecdote, elle a remplacé Thandiwe Newton alors que cette dernière avait tourné au moins une semaine de scènes. Il semble que l’actrice de Westworld ait abandonné le tournage pour des raisons familiales.

Dance Instinct

Bref, ça commence fort avec une danse diablement sexy, à la limite de l’érotisme, entre Channing Tatum et Salma Hayek. Le genre de scènes où t’es un peu gêné si tu regardes le film avec tes parents et où t’as un peu de compassion pour les compagnons des acteurs impliqués. Pour le reste, je n’ai pas été spécialement été épaté par les danses de cet épisode. Aucune ne m’a réellement marqué à part la première. Reste que Channing Tatum a toujours son déhanché fatal. Par contre, sa calvitie progresse et commence mettre en valeur ses oreilles décollées. Pas forcément glamour. M’enfin bon.

Quant à l’histoire, étonnamment, on est dans de la comédie romantique très classique. Au point que toutes les cases inhérentes au genre sont cochées. Jusqu’aux seconds rôles comiques, dont il faut tout de même souligner l’efficacité du Victor d’Ayub Khan-Din. J’ai tout de même été étonné par le côté très classique de l’histoire, en mode Pretty Woman inversé, mais il faut préciser que ça a marché pour moi. J’ai passé un bon moment, quoi.