Critique : Borderlands
Sans surprise, l’adaptation ciné du jeu vidéo Borderlands n’est pas bonne. Ce n’est pas comme si tout le monde ne l’avait pas déjà dit.
Toutes les critiques des films sortis durant l’année 2024 en France.
Sans surprise, l’adaptation ciné du jeu vidéo Borderlands n’est pas bonne. Ce n’est pas comme si tout le monde ne l’avait pas déjà dit.
Mené par un duo sympathique, Twisters est un divertissement efficace malgré un scénario cumulant tous les clichés possibles et des longueurs.
Fede Alvarez réussit le tour de force d’offrir un épisode retournant aux sources tout en digérant intelligemment les opus précédents.
La nouvelle ère du MCU débute sur les cendres de l’ère Fox, mais n’oublie pas de lui rendre un vibrant hommage.
Le ministère de la Sale Guerre, c’est comme si Guy Ritchie avait décidé de faire son Inglourious Basterds (2009).
Deadpool & Wolverine est le No Way Home de Wade Wilson. Bref, Marvel Jésus et le Glouton ont frappé (et ça fait mal aux couilles) !
Devant Moi, moche et méchant 4, j’ai ressenti une certaine lassitude, car les nouveautés se comptent sur les doigts d’une main.
Vu Un prince à New York 2, j’étais inquiet pour ce Flic de Beverly Hills 4. Si ce n’est pas aussi mauvais, ce n’est pas mémorable non plus.
Basé sur une histoire vraie, The Bikeriders par Jeff Nichols raconte l’âge d’or d’un groupe de motards avec une distribution exceptionnelle.
Ce préquel (raaaah, encore un !) n’apporte rien à la franchise, et son drame intimiste encourage l’endormissement.