Les chroniques de Coolson : Retour vers le futur (1985)

Quoi de mieux pour commencer cette nouvelle chronique que de parler d’un film qui sera définitivement le thème qui nous suivra au cours de nos nouvelles aventures ? Ou plutôt « En avant vers le passé », mais j’ai cherché, il n’existe pas celui-là. Alors, je vous embarque pour un voyage vers les films cultes, des classiques indémodables, des indéfendables, voir même, s’en faire un ou deux de temps en temps, ça coûte pas plus cher ! Donc, enfilez vos Nike auto-laçantes, votre gilet de marin mais pas de plan, car là où on va, on n’a pas de besoin de routes !

Cette semaine, c’est Retour vers le futur !

En avant vers le début du passé

Contextualisation. J’ai 8 ans, j’habite dans un petit village des Pyrénées Atlantique. Je suis sur le canap’ en skaï, je porte un tee-shirt Waikiki, un short DDP et je m’ennuie. Je décide de fouiller dans l’armoire à VHS du Padre et je tombe sur le film qui fait partie de ceux qui lanceront ma passion/obsession pour la pop culture…

Alors, Retour vers le futur est un film américain réalisé par le grand, l’immense Robert Zemeckis et sorti en 1985 dans notre cher pays aux mille fromages. Je ne vous ferai pas l’affront de le résumer en long, en large et en travers ici, parce que si vous ne l’avez pas vu, déjà, bah sérieux les gars ??!??! Je vous autorise donc à faire une pause dans la lecture pour aller le regarder (enchaînez la trilogie tant que vous y êtes, ce sera fait, vous me remercierez).

Pour la faire simple, ce film retrace l’histoire de Marty McFly, interprété par Michael J. Fox, immense star des années 80, qui a malheureusement disparu des écrans petit à petit à cause d’une sale maladie, qui voyage dans le temps grâce à une Delorean, mais qui devait à la base, voyager dans un frigo, mais l’idée a été oubliée, Spielberg ayant peur que des enfant ne s’enferment dans des frigos pour faire “ comme dans le film”, inventé par son ami, le docteur Emmett “Doc” Brown. Il atterrit alors en 1955 et, suite à un concours de circonstances, il doit faire tomber ses parents amoureux, sous peine de disparaître.

Les 80’s, c’est bath !

Bien que le film fut défoncé par les critiques de l’époque, il n’en a pas moins atteint aujourd’hui un statut d’œuvre culte qui sait défier le temps et ne prends pas ou peu de rides. Ce film respire les années 80, dégouline de tout ce qui fait les années 80, Robert Zemeckis en tête et Steven Spielberg, bien caché dans l’ombre, qui, à eux deux, n’ont pas leurs pareils pour faire exister des personnages, qui savent parler aux adultes, mais surtout, ne pas prendre les plus jeunes, souvent leur public cible, pour des demeurés.

Alors pourquoi aujourd’hui encore, ce film fonctionne ? Bah, parce qu’il est réussi téh ! On a cette douce sensation que rien n’est raté. Aussi bien la mise en scène de Zemeckis, que les costumes, qui arrive en clin d’œil à nous dire dans quelle époque se situe le film, que la musique, que ce soit Huey Lewis and the News et son célèbre « Power of love » ou celle d’Alan Silvestri, qui a travaillé avec à peu près tous les noms qui ont fait les années 80-90 (et qui à n’en point douter reviendront à peu près tous, tour à tour, dans de futures chroniques) et qui encore aujourd’hui, continue à nous abreuver de thèmes entêtant, comme par exemple ce petit film d’art et d’essai, dont j’ai oublié le nom, mais qui parle d’une équipe de super-héros qui combat un monsieur violet pour une sombre histoire de caillou…

Les acteurs sont juste et parfaitement à leurs places, et aujourd’hui, bien que l’on puisse compter sur les doigts d’une main les films vraiment fifou de leurs filmo respectives, un frisson nous traverse de les voir en interview, ou passer dans un autre film.

Alors, c’est valable ?

Alors oui, Retour vers le futur est un grand film, un héraut de la pop culture qui doit être transmis, comme un témoin, parce que des comme ça, il en tombe pas tous les jours !

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