Critique : Sirāt
En sortant du film, je me suis dit que Sirāt était peut-être une œuvre radicale, conçue pour hanter. Sauf que moi, il m’a surtout anesthésié.
En sortant du film, je me suis dit que Sirāt était peut-être une œuvre radicale, conçue pour hanter. Sauf que moi, il m’a surtout anesthésié.
Non seulement Charlie Sheen est un narrateur génial, mais en plus, il ose se confronter frontalement à ses démons.
Senua’s Saga : Hellblade II reste une expérience marquante, même si le souffle de surprise du premier épisode s’est un peu estompé.
Franchement, j’avais vraiment envie d’aimer McWalter. Mais au final, je suis resté un peu sur ma faim. Dommage car il y a beaucoup d’idées.
Avec Évanouis, Zach Cregger confirme qu’il n’était pas l’homme d’un seul coup d’éclat. Après Barbare, il prouve sa maîtrise du mystère.
Highest 2 Lowest n’est pas un grand Spike Lee, mais ça reste un Spike Lee, et Denzel assure le minimum syndical, mais son aura suffit encore.
Dernière mise à jour : ajout du film du DCU, Man of Tomorrow, prévu le 7 juillet 2027.
Le Murder Club du jeudi est un whodunit efficace et drôle, portée par un charmant casting où Helen Mirren brille un peu trop.
Ça a l’air complètement fou, fun et surtout bien gore (le point faible de l’épisode de What If…?). Sans oublier les excellentes surprises.
La série Sandman se termine sans éclat, avec une intrigue trop molle malgré un bon début, mais je retiendrai quand même Délire.