Critique : Pluribus – Saison 1
Pluribus est une série SF à contre-courant, intelligente, drôle et profondément humaine. Avec une performance XXL de Rhea Seehorn.
Pluribus est une série SF à contre-courant, intelligente, drôle et profondément humaine. Avec une performance XXL de Rhea Seehorn.
James Cameron prouve encore qu’il maîtrise son art, tout en donnant l’impression de ne plus avoir grand-chose à raconter sur Pandora.
Un an avant sa sortie, le marketing du film du MCU, Avengers : Doomsday, débute avec une première bande-annonce.
Drôle et rafraîchissante, Platonic est une excellente surprise. Une série feel-good portée par un duo Rogen & Byrne irrésistible.
Ça : Bienvenue à Derry n’est pas exempte de défauts, loin de là, mais elle réussit l’essentiel : enrichir le mythe sans le trahir.
Wake Up Dead Man est un film plaisant, mais qui laisse un goût d’inachevé. En effet, la conclusion déçoit, car peu crédible à mon goût.
Après Superman, place à sa cousine pour la première œuvre du DCU sans James Gunn à la réalisation ou au scénario.
Train Dreams m’a laissé avec cette sensation étrange d’avoir traversé la vie d’un autre, dans une époque qui n’est plus la nôtre.
Beau, solide, parfois fun, mais trop sage et trop générique pour relancer la franchise Tron. Bref, la malédiction Leto a encore frappé.
The Shadow’s Edge réussit ce que beaucoup d’actioners récents ratent : créer de la tension, de la lisibilité, et surtout de l’humanité.