Critique : Stranger Things 5 – Volume 1
Stranger Things 5 continue de me faire lever les yeux au ciel aussi fort que Vecna lève des enfants. Mais ça se regarde.
Stranger Things 5 continue de me faire lever les yeux au ciel aussi fort que Vecna lève des enfants. Mais ça se regarde.
Running Man n’est pas le chef-d’œuvre d’action que j’espérais, mais il reste une expérience solide, portée par un Glen Powell au top.
Dead Reset, c’est clairement un jeu (« film interactif » serait un terme plus exact) pour ceux qui veulent se marrer avec un bon vieux nanar.
Dernière mise à jour : Lanterns, la série DCU, sortira à la fin de l’été 2026.
La saison 2 de Nobody Wants This réussit à parler de l’amour après le grand geste romantique, et rien que pour ça, elle mérite le visionnage.
Je m’attendais à un petit jeu narratif sympa et je me retrouve avec un titre qui m’a accroché du premier au dernier épisode
Franchement, je n’y croyais plus. Après tant d’années d’errance, voir le Predator revenir aussi en forme, ça fait un bien fou.
Malgré des ratés, Guillermo del Toro livre une œuvre sublime et profondément humaine. Probablement, la meilleure adaptation de Frankenstein.
J’aurais aimé que ce second coup de fil me glace (hé, hé) le sang. À la place, il murmure quelques bonnes idées avant de raccrocher poliment.
Cette saison 2 de Gen V confirme ce que je pensais de la première : la série n’avait pas assez de souffle pour tenir sur la durée.