Critique : The Electric State
300 millions de dollars. Les réalisateurs d’Infinity War et Endgame. The Electric State avait tout pour être le blockbuster roi.
Service de vidéo à la demande créé en 1997 par Reed Hastings et Marc Randolph.
300 millions de dollars. Les réalisateurs d’Infinity War et Endgame. The Electric State avait tout pour être le blockbuster roi.
À part quelques blagues et un combat final réussi, difficile de se laisser marquer par cette longue aventure dans un royaume désertique.
La nouvelle série de Michael Schur (Parks and Recreation, The Good Place et Brooklyn Nine-Nine) est du même acabit que ses prédécesseurs.
Une deuxième saison réussissant à maintenir l’efficacité de la première en proposant de nouvelles idées permettant d’éviter le déjà-vu.
Le grand retour du duo iconique, Wallace et Gromit. Après 17 ans. En plus, on ne s’est pas moqué de nous avec un long-métrage très réussi.
De temps en temps, une œuvre sort de nulle part et bouleverse l’ordre établi. Arcane, du studio Fortiche, fait partie de ces game changers.
Triste naufrage que cette adaptation du jeu Les Loups-garous de Thiercelieux qui pompe Jumanji et Les Visiteurs sans inspiration.
Une romcom efficace réussissant à transcender son amusant pitch de départ : « une agnostique et un rabbin tombent amoureux ».
La série documentaire ne dresse pas seulement le portrait de Vince McMahon, elle raconte aussi l’histoire de sa création. Passionnant.
Jeremy Saulnier est de retour ! Et avec lui, un excellent film entre Rambo et Jack Reacher, mais dans une veine réaliste.