Critique : Stranger Things 5 – Volume 1
Stranger Things 5 continue de me faire lever les yeux au ciel aussi fort que Vecna lève des enfants. Mais ça se regarde.
Service de vidéo à la demande créé en 1997 par Reed Hastings et Marc Randolph.
Stranger Things 5 continue de me faire lever les yeux au ciel aussi fort que Vecna lève des enfants. Mais ça se regarde.
La saison 2 de Nobody Wants This réussit à parler de l’amour après le grand geste romantique, et rien que pour ça, elle mérite le visionnage.
Malgré des ratés, Guillermo del Toro livre une œuvre sublime et profondément humaine. Probablement, la meilleure adaptation de Frankenstein.
A House of Dynamite reprend la structure de Rashomon pour mettre en scène un cauchemar moderne à travers un thriller tendu et captivant.
Ian Brennan signe une saison propre sur elle, joliment mise en scène, mais qui n’ose jamais plonger dans la folie de son sujet.
Non seulement Charlie Sheen est un narrateur génial, mais en plus, il ose se confronter frontalement à ses démons.
Le Murder Club du jeudi est un whodunit efficace et drôle, portée par un charmant casting où Helen Mirren brille un peu trop.
La série Sandman se termine sans éclat, avec une intrigue trop molle malgré un bon début, mais je retiendrai quand même Délire.
Une comédie made in Sandler, bien meilleure que les précédentes qu’il a livrées pour Netflix. Du pur Sandman digne de sa belle époque.
Une troisième saison avec des jeux efficaces et une maîtrise du rythme et de la tension donnant envie d’enchaîner tous les épisodes.