Critique : Doom : The Dark Ages
The Dark Ages tente d’innover la formule Doom en y ajoutant le bouclier de Captain America et des phases avec un dragon et un Jaeger.
L’univers est si vaste, surtout au cinéma, où désormais, on peut compter sur trois univers majeurs avec le Marvel Cinematic Universe, le DC Extended Universe sans oublier les Marvel de la Fox. Sur cette page, on ne fait pas de distinctions entre les univers.
The Dark Ages tente d’innover la formule Doom en y ajoutant le bouclier de Captain America et des phases avec un dragon et un Jaeger.
28 ans plus tard est un bon ajout à la franchise et réussit à se faire une place dans un registre pourtant déjà bouché.
Difficile de s’emballer pour ces trois premiers épisodes d’Ironheart où Dominique Thorne peine à offrir une performance marquante.
À un mois de sa sortie, le film du MCU, Les 4 Fantastiques : Premiers Pas, dévoile une troisième et ultime bande-annonce.
Même si Elio a réussi à m’émouvoir, il m’est pourtant difficile de le considérer comme une réussite, tant il est paresseux.
Une histoire touchante, construite de manière originale autour d’un homme nommé Chuck dont la vie n’a pas été épargnée par les drames.
Une saison moins marquante que la précédente, en raison de nombreux épisodes peu convaincants, voire invraisemblables.
Ray Mendoza et Alex Garland se sont associés pour livrer un film sur une bataille ayant eu lieu en 2006 en Irak. Une expérience à part.
Si son intrigue demeure classique, Deep Cover développe son idée originale pour offrir des moments sincèrement drôles.
Encore une fois, malgré trois saisons, Clarkson à la ferme a continué à me ravir grâce à la nouvelle lubie de Jeremy Clarkson.