Critique : Transformers : Le Commencement
Transformers : Le Commencement est le meilleur film de la franchise depuis Transformers 3. Un défouloir avec des airs de La Revanche des Sith.
Transformers : Le Commencement est le meilleur film de la franchise depuis Transformers 3. Un défouloir avec des airs de La Revanche des Sith.
C’est drôle. C’est avec ses séries les moins attendues que Marvel Studios livre ses meilleurs coups. Comme Agatha All Along.
Quel fabuleux épisode. Entre montage inspiré, moments épiques et révélation dingue, Agatha All Along m’a régalé cette semaine.
Triste naufrage que cette adaptation du jeu Les Loups-garous de Thiercelieux qui pompe Jumanji et Les Visiteurs sans inspiration.
The Killer est un DTV sorti miraculeusement en salles en France. Quelle déception, et il est clair que John Woo a perdu tout son mojo.
Immortals of Aveum, un joli et efficace fast FPS doté d’une histoire captivante. Petit coup de cœur inattendu.
Un bijou d’animation qui sort de nulle part avec un succès au box-office au rendez-vous, au point de lancer la mise en chantier d’une suite.
L’épisode le plus long de la saison (50 minutes !) et celui des révélations. Un véritable régal entre drame et humour. J’ai adoré.
Un biopic sur Donald Trump. Est-ce utile ? Je ne le pensais pas, jusqu’à The Apprentice qui livre un portrait grinçant sur l’ancien POTUS.
Une romcom efficace réussissant à transcender son amusant pitch de départ : « une agnostique et un rabbin tombent amoureux ».