Critique : Play Dirty
Avec Play Dirty, Shane Black signe un retour en demi-teinte : ça démarre fort, mais ça se perd vite dans une surenchère absurde.
Avec Play Dirty, Shane Black signe un retour en demi-teinte : ça démarre fort, mais ça se perd vite dans une surenchère absurde.
Silent Hill f marque un retour audacieux et inspiré pour la licence. NeoBards réussit en effet à livrer l’un de ses meilleurs épisodes.
Cette saison 2 de Comedy Class corrige pas mal des défauts de la première : un montage plus fluide, un niveau supérieur et un roast hilarant.
Une bataille après l’autre s’avère être un film soigné, porté par des performances solides, mais qui peine à s’affirmer pleinement.
Downton Abbey III : Le Grand Final réussit à offrir une conclusion émouvante à une saga qui a marqué des générations de téléspectateurs.
Dommage pour les fans venus chercher le Xénomorphe, la créature se fait trop discrète, et l’ambiance penche plus du côté de Blade Runner
Marvel Zombies, c’est un festin. Pas parfait, mais sacrément goûtu. Et je suis déjà prêt à en reprendre une part.
Elle entend pas la moto est bien plus qu’un documentaire sur la surdité : c’est un portrait de famille, fragile et puissant à la fois.
En sortant du film, je me suis dit que Sirāt était peut-être une œuvre radicale, conçue pour hanter. Sauf que moi, il m’a surtout anesthésié.
Non seulement Charlie Sheen est un narrateur génial, mais en plus, il ose se confronter frontalement à ses démons.