Critique : Conan
Le film fait partie des prod’ Nu Image, derrière Expendables et Hell Driver, donc si vous ne les avez pas aimé, vous n’aimerez pas Conan.
Le genre « fantastique » nous transporte dans des mondes imaginaires remplis de magie, de créatures étonnantes et d’aventures épiques.
Le film fait partie des prod’ Nu Image, derrière Expendables et Hell Driver, donc si vous ne les avez pas aimé, vous n’aimerez pas Conan.
L’apport de la version longue de Sucker Punch est sympathique avec deux scènes. J’ai du mal à comprendre pourquoi elles ont été enlevées.
Enfin, ça fait 10 ans qu’on suivait les aventures du sorcier à la cicatrice. Depuis le 5 décembre 2001, plus précisément.
Au lieu de nous refaire les origines comme pour Iron Man, on a eu l’excellente idée du côté de Marvel de nous raconter la jeunesse de Thor…
Donner les rênes à Rob Marshall a provoqué une grosse surprise. Ce dernier ne s’étant signalé que par des drames ou des comédies musicales.
Le film commence par un long voyage : une certaine idée du trip métaphysique qui vous fera voyager jusqu’à l’aube de notre planète.
Les premiers épisodes reviennent à une routine typiquement Fringe à savoir des enquêtes très réussis et toujours plus farfelues.
Si vous voulez commencer à rembourser l’achat de votre télé 3D, il n’y a pas photo, vous devez posséder Le Royaume de Ga’Hoole.
On sort de la séance déçu par Enter the Void surtout qu’on sentait que Gaspar Noé avait effleuré le chef d’œuvre.
Culte ! Époustouflant ! Magique ! Drôle ! Tous ces superlatifs définissent parfaitement le film et je pourrais en trouver d’autres.