Critique : Silent Hill 2 (2024)
23 ans après Silent Hill 2, j’ai remis ça avec un remake efficace ne perdant jamais de vue ce qui avait fait le charme de l’original.
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
23 ans après Silent Hill 2, j’ai remis ça avec un remake efficace ne perdant jamais de vue ce qui avait fait le charme de l’original.
C’est drôle. C’est avec ses séries les moins attendues que Marvel Studios livre ses meilleurs coups. Comme Agatha All Along.
Quel fabuleux épisode. Entre montage inspiré, moments épiques et révélation dingue, Agatha All Along m’a régalé cette semaine.
L’épisode le plus long de la saison (50 minutes !) et celui des révélations. Un véritable régal entre drame et humour. J’ai adoré.
Un biopic sur Donald Trump. Est-ce utile ? Je ne le pensais pas, jusqu’à The Apprentice qui livre un portrait grinçant sur l’ancien POTUS.
S’il faut subir une mise en place un peu lente, quand les pièces du puzzle se mettent en place, la tension monte tout comme les émotions.
Cette semaine, pour Agatha All Along, un épisode plus court que d’habitude mais filant à toute allure avec pas mal de surprises.
Une deuxième saison moins impressionnante à mon goût, car l’aspect aventure laisse place à un jeu d’échecs autour de l’Eregion.
Une suite prenant bien plus de risques que son prédécesseur, mais malheureusement au final, on se retrouve devant un pantin désarticulé
Autre semaine, autre épisode génial d’Agatha All Along. Avec un peu d’émotion (et des monstres) qui s’invite au voyage.