Critique : Good Omens 2
Good Omens 2 prend le parti de ne pas prioriser l’intrigue, mais les persos. Cela donne une suite plus calme, mais pas sans moments forts.
Le genre « comédie » fait rire les spectateurs avec des situations cocasses, des dialogues hilarants et des personnages excentriques.
Good Omens 2 prend le parti de ne pas prioriser l’intrigue, mais les persos. Cela donne une suite plus calme, mais pas sans moments forts.
Lee Sung Jin déploie une comédie dramatique à l’humour grinçant porté par une excellente réalisation et ses deux stars.
Encore une fois, après Soul, Luca et Alerte rouge, Pixar livre une histoire touchante et drôle tout en livrant un sous-texte intéressant.
Pour son troisième épisode, la saga Magic Mike fait dans le classique en s’orientant vers la comédie romantique, façon Pretty Woman inversé
J’ai regardé la série car elle réunissait les têtes d’affiche de mon film préféré de l’année dernière Everything Everywhere All at Once.
J’ai commencé FUBAR parce qu’Arnold Schwarzenegger (pas besoin d’en dire plus) dont c’est la première série télévisée en tête d’affiche.
Renfield ne vaut que pour le kif de voir Nicolas Cage cabotiner en Dracula, le reste est incroyablement plat au vu du sujet.
Malgré un démarrage timide, cette troisième (et dernière ?) saison de Ted Lasso se révèle être dense et cumule beaucoup de moments drôles.
Après Un homme en colère, Guy Ritchie refait équipe avec Tatane Man pour une sorte de Mission : Impossible où brille Hugh Grant.
Dans cette critique, je me lâche totalement et reviens sur les moments forts du film Les Gardiens de la Galaxie Volume 3.