Critique : GLOW – Saison 1
M’enfin, une série avec des femmes faisant du catch, ce n’est pas tous les jours qu’on voit ça. Allez, on binge watch GLOW.
Le genre « comédie » fait rire les spectateurs avec des situations cocasses, des dialogues hilarants et des personnages excentriques.
M’enfin, une série avec des femmes faisant du catch, ce n’est pas tous les jours qu’on voit ça. Allez, on binge watch GLOW.
Gru est de retour dans un nouveau costume, celui d’espion. Et il a un Joker digne de lui en la personne de Balthazar Bratt.
Habituellement, je ne parle pas d’une série sortie depuis un moment, mais il fallait que je laisse un mot concernant Dirk Gently.
3 ans de suite, La La Land a trusté une place dans mon top 10 des films les plus attendus de l’année. Néanmoins, je craignais la déception.
Après avoir été déçu par The Abominable Bride, j’avoue avoir été sur la réserve en abordant cette quatrième saison de Sherlock.
J’avais quitté les orphelins Baudelaire en 2004 avec un film où Jim Carrey cabotinait en Comte Olaf. Je les retrouve pour une série Netflix.
Parce que Noël n’est rien sans les comédies de Noël. Je vais donc au cinéma pour me mettre dans l’esprit. Pardon, c’est pas le sujet ?
Sausage Party. C’est l’histoire d’un délire à la Toy Story avec de la bouffe et surtout du gore et du cul. Un truc impensable.
Vu le second opus, c’est d’un œil méchant que j’avais d’abord regardé ce Bridget Jones Baby. Puis, j’avais été soufflé par les bons retours.
Quand le réalisateur de Very Bad Trip décide avec War Dogs de s’offrir son Scarface en se basant sur un fait divers cool, ça peut être fun.