Critique : Doom Eternal
Après quatre tentatives avec la saga Doom, je pensais qu’elle n’était pas pour moi. Mais j’ai insisté avec Doom Eternal et j’en suis tombé amoureux.
Après quatre tentatives avec la saga Doom, je pensais qu’elle n’était pas pour moi. Mais j’ai insisté avec Doom Eternal et j’en suis tombé amoureux.
En règle générale, je ne fais jamais (ou presque) de news sur les jeux vidéo. Mais, cette fois-ci, je ne pouvais pas y couper. Wolfenstein, quoi !
Ces dernières années ont été riches en Open World. L’un des plus grands d’entre eux a enfin une suite, mais elle s’avère passablement ratée.
Après la grosse claque de The New Order, j’étais vraiment excité à l’idée de pénétrer dans le château Wolfenstein avec B.J. La même formule gagnante ?
Le survival horror est tombé en désuétude. Né avec Alone in the Dark, sublimé avec Resident Evil, il est mort… avant de renaître avec The Evil Within.
Attention, le jeu n’est pas un canon du genre FPS, mais il a pour lui un point que la concurrence semble avoir oublié depuis des lustres : une histoire !
Prenez le contrôle de Corvo et rétablissez votre honneur en accomplissant des missions vous laissant une marge de manœuvre inouïe. La vengeance est un plat qui se mange avec déshonneur.
Je sais que je vais me faire incendier mais il faut que j’avoue que ce Skyrim ne m’a pas plus emballé que ça. Attention, je ne renie pas que le jeu est excellent mais il n’arrive pas à me toucher.
La ressemblance entre Fallout 3 et Rage est énorme. Rage paraît même être un Fallout 3 grand public… Mais est-ce pour autant un plagiat? On vérifie ça.