Critique : Assassin’s Creed Valhalla
La saga Assassin’s Creed n’est devenue que l’ombre d’elle-même. Un monde ouvert avec des centaines de trucs à faire, mais rien d’intéressant.
La saga Assassin’s Creed n’est devenue que l’ombre d’elle-même. Un monde ouvert avec des centaines de trucs à faire, mais rien d’intéressant.
Ubisoft sort un film tiré d’un de ses jeux à succès et n’échappe pas à la malédiction de l’adaptation tirée de jeux vidéos. Dommage !
Après plusieurs ratages, la Fox persiste et signe l’adaptation du jeu vidéo Assassin’s Creed avec le trio Kurzel/Fassbender/Cotillard.
À force d’être répété, le fameux credo des Assassins a fini par rentrer dans nos têtes. Du coup, est-ce que ça vaut vraiment le coup de reprendre un cours ?
La saga du credo de l’Assassin livre son sixième épisode. Avouons-le, j’ai du mal à comprendre pourquoi Black Flag n’a pas été considéré comme un spin-off.
Après la déception des deux addons du deuxième épisode d’Assassin’s Creed n’apportant que de maigres innovations et une histoire n’avançant qu’à pas de bébés, Ubisoft semblait vouloir marquer un gros coup avec ce troisième épisode.
Enfin, après Assassin’s Creed 2 et sa suite Brotherhood, on va enfin avoir le droit à des révélations dignes de ce nom. Du moins, c’est ce qu’on espère en lançant le jeu.
Un Assassin’s Creed est toujours un petit évènement en soi. Le troisième opus continue avec Ezio. Mais cet opus malgré un début bandant finit par décevoir.