Critique : Colossal
J’avais quitté Nacho Vigalondo sur un très bon Timecrimes et ses délires de voyage dans le temps. Je le retrouve avec Colossal.
J’avais quitté Nacho Vigalondo sur un très bon Timecrimes et ses délires de voyage dans le temps. Je le retrouve avec Colossal.
Ça fait quoi un vieux à la retraite qui s’emmerde ? Ben, ça prend un stage dans une start-up, ça devient copain avec Anne Hathaway et ça nous fait rire.
L’histoire, les thèmes et la durée d’Interstellar en font le film le plus ambitieux de Christopher Nolan. Le résultat est à la hauteur ?
Christopher Nolan nous invite pour une nouvelle odyssée dans l’espace, 46 ans après celle de Kubrick, sauf que le temps s’en mêle.
On commence à en savoir un peu plus sur l’intrigue du film, même si la bande-annonce a l’intelligence d’en dire peu pour nous laisser avec juste ce qu’il faut.
Lorsque j’appris qu’ils allaient adapter Les Misérables, ma première réaction fut : pfff, ces américains… Mais bon, il s’agit de la comédie musicale.
The Dark Knight Rises devait être la conclusion épique de ce que l’on appelle désormais la trilogie Nolan.
On aime tous les belles histoires d’amour surtout quand elles sont bien tragiques comme il faut. Un Jour fait partie de ceux-là. Une réalisation classique mais efficace, une musique agréable et deux acteurs plutôt doués.
Si vous vous attendez à une bonne comédie bien poilante, ce n’est pas le cas ici. Même les sourires se font très rares.