Critique : Call of Duty : Black Ops III
Même si on peut juger qu’un Call of Duty par an, ça fait beaucoup. Au final, à chaque année, son lot de nouveautés.
De temps en temps, chez Le blog de Marvelll, on joue aux jeux vidéo. On en profite donc pour deviser sur nos expériences dans ce domaine. Cette catégorie résume toutes les excursions vidéoludiques de ses rédacteurs.
Même si on peut juger qu’un Call of Duty par an, ça fait beaucoup. Au final, à chaque année, son lot de nouveautés.
StarCraft 2 boucle sa campagne avec moins d’inspiration que d’habitude, mais au final, le jeu est merveilleusement calibré.
Mad Max est un jeu solide, dans la lignée de Batman version Arkham, mais n’offre rien de plus. Un bon moment à passer puis basta.
Avec ce dernier Metal Gear Solid, Kojima boucle sa saga en prenant un énorme risque, prendre le virage de l’Open World.
Nostalgie. C’est le sentiment qui s’est emparé de mon cœur lorsque j’ai terminé The Witcher 3. Quelle claque. Quelle merveille.
Le dernier Mortal Kombat que j’ai touché remonte au 4 sur la Nintendo 64. Depuis, nada. L’occasion donc de revenir à mes premiers amours.
Après la grosse claque de The New Order, j’étais vraiment excité à l’idée de pénétrer dans le château Wolfenstein. Même formule gagnante ?
La preuve absolue que le jeu vidéo est aussi un art à part entière. Indispensable, donc. Une expérience à vivre et ouverte à tous.
Le début de la campagne est vraiment horripilant, fort heureusement, ça s’arrange au bout de quelques heures
L’énorme succès des jeux d’aventure de Telltale Games comme The Walking Dead allait faire apparaître des copieurs.