Critique : Uncharted 4 : A Thief’s End
Sans savoir pourquoi mais Uncharted 4 ne me disait rien. Sans doute, car je trouvais que la saga était dépassée par Tomb Raider.
De temps en temps, chez Le blog de Marvelll, on joue aux jeux vidéo. On en profite donc pour deviser sur nos expériences dans ce domaine. Cette catégorie résume toutes les excursions vidéoludiques de ses rédacteurs.
Sans savoir pourquoi mais Uncharted 4 ne me disait rien. Sans doute, car je trouvais que la saga était dépassée par Tomb Raider.
Même si je ne suis pas fan de Lara Croft, il y a 3 ans, j’avais pris une claque monstrueuse avec le reboot. Une deuxième baffe m’attend ?
Ces dernières années ont été riches en Open World. L’un des plus grands d’entre eux a enfin une suite, mais elle s’avère passablement ratée.
Même si on peut juger qu’un Call of Duty par an, ça fait beaucoup. Au final, à chaque année, son lot de nouveautés.
StarCraft 2 boucle sa campagne avec moins d’inspiration que d’habitude, mais au final, le jeu est merveilleusement calibré.
Mad Max est un jeu solide, dans la lignée de Batman version Arkham, mais n’offre rien de plus. Un bon moment à passer puis basta.
Avec ce dernier Metal Gear Solid, Kojima boucle sa saga en prenant un énorme risque, prendre le virage de l’Open World.
Nostalgie. C’est le sentiment qui s’est emparé de mon cœur lorsque j’ai terminé The Witcher 3. Quelle claque. Quelle merveille.
Le dernier Mortal Kombat que j’ai touché remonte au 4 sur la Nintendo 64. Depuis, nada. L’occasion donc de revenir à mes premiers amours.
Après la grosse claque de The New Order, j’étais vraiment excité à l’idée de pénétrer dans le château Wolfenstein. Même formule gagnante ?