Critique : Marvel Studios : Rassemblement : Le making of de Miss Marvel

Au bout du onzième making-of, je ne sais plus trop quoi dire étant donné que la structure reste identique au fil des épisodes de la série Marvel Studios : Rassemblement. Donc les qualités et les défauts de celui consacré à Miss Marvel sont les mêmes. Je vous prie donc de vous référer aux anciennes critiques 😛

Dès lors, je vais désormais me contenter de parler de ce qui m’a marqué. Tout d’abord, ce qui m’a le plus épaté, c’est de constater de voir à quel point beaucoup de décors ont été construits. Même la maison de Kamala Khan. Ce qui est assez dingue, c’est la présence de très nombreux fonds bleus. En effet, je ne les ai pas du tout vu dans la série.

Quand la réalité se confond avec la fiction

Sinon, ce making-of confirme une bonne fois pour toutes qu’Iman Vellani EST Miss Marvel. Une nerd fan de Marvel qui se retrouve propulsée dans le monde de ses rêves les plus fous. Iman Vellani le dit elle-même, elle n’avait pas envisagé d’être actrice, mais le rôle de Miss Marvel était une offre impossible à refuser. J’ai aimé la façon dont ils ont dessiné, façon comic évidemment, le moment où elle a appris qu’elle a eu le rôle.

J’ai noté que le casting est très proche. Ça se voit certes à l’écran, mais derrière la caméra, je me suis rendu compte que ce n’était pas joué. Un des rares bienfaits du covid. On peut aussi voir les quatre réalisateurs ayant travaillé sur la série. J’ai été amusé par le duo Adil El Arbi & Bilall Fallah. En effet, les voir mettre autant en avant Bad Boys For Life (allant jusqu’à avoir un cri de guerre Miss Marvel For Life) donne l’impression d’avoir affaire à des fans plutôt que des professionnels du cinéma.

Aussi, j’ai pu admirer pas mal de techniques des scènes les plus épatantes du premier épisode comme le coup du lit en plein AvengerCon. D’ailleurs, en parlant de ce dernier, merci au making-of de nous permettre de faire un tour dans ce décor tout simplement magique. Le visage de Kamala quand elle découvre l’AvengerCon pour la première fois vaut son pesant. Les décors représentent d’ailleurs une grosse partie de ce making-of et, à raison, tant c’est impressionnant. Mention spéciale également à celui de la partition.