Critique : Panayotis Pascot : Presque
J’ai lancé le one-man-show de Payanotis sans trop y croire et j’ai été cueilli par surprise via un spectacle d’une très grande qualité.
Toutes les critiques sur les meilleurs films sortis durant les années 2020.
J’ai lancé le one-man-show de Payanotis sans trop y croire et j’ai été cueilli par surprise via un spectacle d’une très grande qualité.
Ne vous fiez pas à son titre français, il ne s’agit pas un making-of classique, mais un OVNI collant parfaitement à Werewolf by Night.
Zach Cregger signe son Get Out. Un film d’horreur semblant banal au premier abord, mais se révélant être un petit bijou.
Voilà ce qu’aurait dû être Morbius. Werewolf by Night est une excellente porte d’entrée dans le MCU horrifique.
Et c’est bien Prey Coolson ? Si vous n’avez pas envie de lire la chronique, j’ai kiffé de ouf, sinon, j’en dis plus dedans.
Un petit bijou survitaminé reposant sur un scénario malin et des scènes d’action lorgnant de très près le style de Jackie Chan.
Avec The Gray Man, le quatuor derrière Captain America : Le Soldat de l’Hiver et Civil War et Avengers : Infinity War et Endgame se reforme.
Encore un bon film Netflix avec Jamie Foxx. Après le sympa Project Power, la team remet ça pour une comédie d’action dopée aux canines.
Adorant le premier Top Gun, je n’avais pas envie de voir Maverick pour ne pas briser le mythe. J’ai failli faire une grosse boulette.
Avec Love and Thunder, Waititi est allé encore plus loin que sur Ragnarok. Cela donne un film moins maîtrisé, mais bourré de bonnes idées.