Critique : Le Robot sauvage
Un bijou d’animation qui sort de nulle part avec un succès au box-office au rendez-vous, au point de lancer la mise en chantier d’une suite.
Parce que chez Le blog de Marvelll, on est des fous de cinéma, on a donc besoin d’en parler encore et encore. Cette catégorie résume toutes les divagations de ses rédacteurs dans le genre.
Un bijou d’animation qui sort de nulle part avec un succès au box-office au rendez-vous, au point de lancer la mise en chantier d’une suite.
Un biopic sur Donald Trump. Est-ce utile ? Je ne le pensais pas, jusqu’à The Apprentice qui livre un portrait grinçant sur l’ancien POTUS.
S’il faut subir une mise en place un peu lente, quand les pièces du puzzle se mettent en place, la tension monte tout comme les émotions.
Une suite qui fait son beurre en jouant la carte de la nostalgie et des séquences inspirées. Dommage que l’histoire soit trop morcelée.
Cette nouvelle adaptation de Stephen King peine à convaincre la faute à un montage trop coupé où le rythme est préféré à la substance.
Une suite prenant bien plus de risques que son prédécesseur, mais malheureusement au final, on se retrouve devant un pantin désarticulé
Un p’tit truc en plus n’est pas un chef-d’œuvre de la comédie, mais c’est un film avec un petit truc en plus : son époustouflant casting.
Late Night with the Devil est une pépite horrifique déployant une intrigue et un style originaux, le tout avec un côté délicieusement rétro.
Sans prévenir, la première bande-annonce de Thunderbolts* (notez l’importance de l’astérisque) débarque. « Attention à qui se rassemble. »
Malgré une excellente idée de départ, des répliques senties et une scène d’action géniale, l’ensemble n’arrive jamais à être assez crédible.