Critique : The Bikeriders
Basé sur une histoire vraie, The Bikeriders par Jeff Nichols raconte l’âge d’or d’un groupe de motards avec une distribution exceptionnelle.
Parce que chez Le blog de Marvelll, on est des fous de cinéma, on a donc besoin d’en parler encore et encore. Cette catégorie résume toutes les divagations de ses rédacteurs dans le genre.
Basé sur une histoire vraie, The Bikeriders par Jeff Nichols raconte l’âge d’or d’un groupe de motards avec une distribution exceptionnelle.
Revivez la carrière au box-office du 33ème film de l’univers cinématographique Marvel et 3ème de la Phase 5, The Marvels.
Ce préquel (raaaah, encore un !) n’apporte rien à la franchise, et son drame intimiste encourage l’endormissement.
Une suite réussie dans la lignée de son prédécesseur, illustrant brillamment le passage à l’adolescence. Bref, un Pixar émouvant et drôle.
Quel curieux film, ce Blue & Compagnie ! Pendant les deux tiers, je me suis ennuyé, mais le miracle arrive dans le dernier tiers.
Un Bad Boys dans la lignée du précédent. Quoi d’étonnant vu que toute l’équipe revient, que ce soit devant ou derrière la caméra.
Sous la Seine vaut surtout pour l’excellent sens du timing de sa sortie. Autrement, il n’y a pas grand-chose à sauver de ce nanar.
Atlas donne l’impression de regarder un film d’action SF un peu nanardesque des années 90 comme Judge Dredd ou Universal Soldier.
Difficile de ne pas être curieux de voir ce que le réalisateur uruguayen, Fede Álvarez, va faire de la franchise Alien.
De l’horreur fun et décomplexée avec un casting sympathique porté par une géniale Alisha Weir dans le rôle d’Abigail.