Critique : Liars Club – Saison 1
Un nouveau jeu pour Prime, surfant sur la vague de LOL. Le résultat est sympathique, malgré un montage et une narration parfois agaçants.
Le genre « comédie » fait rire les spectateurs avec des situations cocasses, des dialogues hilarants et des personnages excentriques.
Un nouveau jeu pour Prime, surfant sur la vague de LOL. Le résultat est sympathique, malgré un montage et une narration parfois agaçants.
300 millions de dollars. Les réalisateurs d’Infinity War et Endgame. The Electric State avait tout pour être le blockbuster roi.
À part quelques blagues et un combat final réussi, difficile de se laisser marquer par cette longue aventure dans un royaume désertique.
Après Parasite, Bong Joon-ho retourne à la science-fiction et au film de monstres avec Mickey 17 accompagné par plusieurs Robert Pattinson.
La nouvelle série de Michael Schur (Parks and Recreation, The Good Place et Brooklyn Nine-Nine) est du même acabit que ses prédécesseurs.
Un sympathique road trip porté par un rythme rapide, quelques bonnes répliques et surtout la performance de Kieran Culkin.
Il n’y a pas grand-chose à dire, si ce n’est : masterclass. Le terme peut paraître galvaudé, mais il est ici parfaitement justifié.
La saison 1 est terminée, donc je peux maintenant le crier : la première saison de Votre fidèle serviteur Spider-Man est excellente !
Paddington au Pérou connaît un changement critique vu que le réalisateur Paul King a quitté l’aventure pour Wonka.
Une suite tout aussi formidable que Bridget Jones Baby, qui amène Bridget sur de nouvelles voies : celle de la mère célibataire et du deuil.