Critique : The Bear – Saison 4
Une quatrième saison exceptionnelle pour The Bear, un véritable tsunami émotionnel porté par des personnages toujours aussi attachants.
Le genre « comédie » fait rire les spectateurs avec des situations cocasses, des dialogues hilarants et des personnages excentriques.
Une quatrième saison exceptionnelle pour The Bear, un véritable tsunami émotionnel porté par des personnages toujours aussi attachants.
Créée par les Weitz Bros derrière American Pie, Murderbot : Journal d’un AssaSynth est une série atypique et originale.
Heads of State est un buddy movie porté par une réalisation inspirée, livrant des scènes d’action fun, et un duo sorti de Belle Reve.
Même si Elio a réussi à m’émouvoir, il m’est pourtant difficile de le considérer comme une réussite, tant il est paresseux.
Si son intrigue demeure classique, Deep Cover développe son idée originale pour offrir des moments sincèrement drôles.
Encore une fois, malgré trois saisons, Clarkson à la ferme a continué à me ravir grâce à la nouvelle lubie de Jeremy Clarkson.
Avec un Stitch impeccable, le film de Dean Fleischer Camp ajoute une couche supplémentaire en approfondissant le personnage de Nani
The Studio propose de vivre le quotidien d’un studio hollywoodien. C’est fin, génialement interprété, très drôle et subtilement mis en scène.
Pour moi, il s’agit de la moins bonne saison de Love, Death + Robots. En effet, aucun épisode, sauf Conversion en altitude, n’est étonnant.
Alain Chabat revient au royaume d’Astérix et Obélix pour livrer un nouveau joyau : une mini-série reprenant l’humour de Mission Cléopâtre.