Critique : Horns
Quand Alexandre Aja adapte un roman du fils de Stephen King, je suis au taquet. En plus, Harry Potter avec des cornes, ça ne peut pas se rater.
Quand Alexandre Aja adapte un roman du fils de Stephen King, je suis au taquet. En plus, Harry Potter avec des cornes, ça ne peut pas se rater.
Après avoir amassé un milliard au box-office, la Meute est de retour pour son chant du cygne. Pour une gueule de bois et un blackout encore plus énormes ?