Critique : Mission impossible : The Final Reckoning
La franchise Mission impossible fait son Endgame, mais n’a jamais réussi à totalement me captiver en raison de ses nombreux défauts.
La franchise Mission impossible fait son Endgame, mais n’a jamais réussi à totalement me captiver en raison de ses nombreux défauts.
Une très bonne adaptation vidéoludique d’Indiana Jones, se situant chronologiquement entre le premier et le troisième film.
Une deuxième saison inférieure à la première, souffrant particulièrement de sa structure de premier tiers d’une intrigue complète.
Après son 4ème week-end, Thunderbolts* cumule 355 millions de dollars au box-office mondial.
Avec un Stitch impeccable, le film de Dean Fleischer Camp ajoute une couche supplémentaire en approfondissant le personnage de Nani
Dernière mise à jour : Avengers : Doomsday et Avengers : Secret Wars sont repoussés.
The Studio propose de vivre le quotidien d’un studio hollywoodien. C’est fin, génialement interprété, très drôle et subtilement mis en scène.
14 ans après le dernier Destination Finale, la franchise revient et livre son meilleur épisode avec des magnifiques adieux de Tony Todd.
Pour moi, il s’agit de la moins bonne saison de Love, Death + Robots. En effet, aucun épisode, sauf Conversion en altitude, n’est étonnant.
Après une saison 1 de haute volée, Andor confirme avec une saison 2 magistrale marquée par deux arcs d’un niveau exceptionnel.