Critique : Werewolf by Night
Voilà ce qu’aurait dû être Morbius. Werewolf by Night est une excellente porte d’entrée dans le MCU horrifique.
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Voilà ce qu’aurait dû être Morbius. Werewolf by Night est une excellente porte d’entrée dans le MCU horrifique.
On prend son mulet, son slip et son continuum espace-temps. Cette semaine, c’est Timecop. Avec Jean-Claude Van Vaerenbergh.
Et c’est bien Prey Coolson ? Si vous n’avez pas envie de lire la chronique, j’ai kiffé de ouf, sinon, j’en dis plus dedans.
Un petit bijou survitaminé reposant sur un scénario malin et des scènes d’action lorgnant de très près le style de Jackie Chan.
Avec The Gray Man, le quatuor derrière Captain America : Le Soldat de l’Hiver et Civil War et Avengers : Infinity War et Endgame se reforme.
Alors, on prend son ciré jaune, sa canne à pêche et on high five Captain Igloo. Cette semaine, c’est En pleine tempête.
Encore un bon film Netflix avec Jamie Foxx. Après le sympa Project Power, la team remet ça pour une comédie d’action dopée aux canines.
Donc, on prend son arme de l’espace de Predator, son disque coupant de Predator et sa lance de Predator. Cette semaine, c’est Predator 2.
Adorant le premier Top Gun, je n’avais pas envie de voir Maverick pour ne pas briser le mythe. J’ai failli faire une grosse boulette.
Avec Love and Thunder, Waititi est allé encore plus loin que sur Ragnarok. Cela donne un film moins maîtrisé, mais bourré de bonnes idées.
Avec Thor : Love and Thunder, Taika Waititi réapplique la formule de Ragnarok. Première victime, l’effet de surprise.
Alors, on prend sa ceinture d’outil, son démodulateur et son micro de karaoké. Cette semaine, c’est Disjoncté.