Critique : Downton Abbey III : Le Grand Final
Downton Abbey III : Le Grand Final réussit à offrir une conclusion émouvante à une saga qui a marqué des générations de téléspectateurs.
Parce que chez Le blog de Marvelll, on est des fous de cinéma, on a donc besoin d’en parler encore et encore. Cette catégorie résume toutes les divagations de ses rédacteurs dans le genre.
Downton Abbey III : Le Grand Final réussit à offrir une conclusion émouvante à une saga qui a marqué des générations de téléspectateurs.
Elle entend pas la moto est bien plus qu’un documentaire sur la surdité : c’est un portrait de famille, fragile et puissant à la fois.
En sortant du film, je me suis dit que Sirāt était peut-être une œuvre radicale, conçue pour hanter. Sauf que moi, il m’a surtout anesthésié.
Franchement, j’avais vraiment envie d’aimer McWalter. Mais au final, je suis resté un peu sur ma faim. Dommage car il y a beaucoup d’idées.
Avec Évanouis, Zach Cregger confirme qu’il n’était pas l’homme d’un seul coup d’éclat. Après Barbare, il prouve sa maîtrise du mystère.
Highest 2 Lowest n’est pas un grand Spike Lee, mais ça reste un Spike Lee, et Denzel assure le minimum syndical, mais son aura suffit encore.
Le Murder Club du jeudi est un whodunit efficace et drôle, portée par un charmant casting où Helen Mirren brille un peu trop.
Karate Kid : Legends, c’est une suite-remake doublée d’un crossover. Tout ce que le cinéma hollywoodien aime, condensé en un seul film.