Critique : Predator : Badlands
Franchement, je n’y croyais plus. Après tant d’années d’errance, voir le Predator revenir aussi en forme, ça fait un bien fou.
Chez Le blog de Marvelll, on adore regarder des films, mais aussi les critiquer et toujours subjectivement sinon ce n’est pas du jeu. Vous pouvez retrouver toutes les critiques du site dans cette catégorie, qu’elles soient pourries ou excellentes.
Franchement, je n’y croyais plus. Après tant d’années d’errance, voir le Predator revenir aussi en forme, ça fait un bien fou.
Malgré des ratés, Guillermo del Toro livre une œuvre sublime et profondément humaine. Probablement, la meilleure adaptation de Frankenstein.
J’aurais aimé que ce second coup de fil me glace (hé, hé) le sang. À la place, il murmure quelques bonnes idées avant de raccrocher poliment.
Alors oui, Smashing Machine traîne un peu quand ça cause cœur, mais voir The Rock livrer une performance aussi habitée, c’est un choc.
Regretting You ne cherche jamais à sortir de sa zone de confort, mais réussit malgré tout à toucher, grâce à des moments d’émotion sincère.
A House of Dynamite reprend la structure de Rashomon pour mettre en scène un cauchemar moderne à travers un thriller tendu et captivant.
John Candy : I Like Me est un documentaire tendre et drôle. Il réussit à capter tout ce qui faisait de Candy un acteur à part.
The Lost Bus est un film solide qui joue habilement sur la tension et l’émotion, porté par un duo Matthew McConaughey / America Ferrera.
Avec Marche ou crève, Francis Lawrence livre un film sans concession, même s’il n’arrive pas à retranscrire totalement la folie du roman.
Avec Play Dirty, Shane Black signe un retour en demi-teinte : ça démarre fort, mais ça se perd vite dans une surenchère absurde.